(Ottawa) Le nom de la personne qui succédera à Justin Trudeau comme chef du Parti libéral du Canada (PLC) et premier ministre sera connu le 9 mars. Il faudra être citoyen canadien ou résident permanent pour avoir le droit de voter.
(Ottawa) Le premier ministre Justin Trudeau a donné jeudi sa première grande entrevue depuis sa démission au réseau américain CNN. Son message : les Américains vont se tirer dans le pied s’ils tentent d’affaiblir l’économie canadienne.
(Montréal) Paul St-Pierre Plamondon appelle François Legault à créer une « Équipe Québec » comprenant les partis d’opposition, des universitaires et des organisations afin de faire face aux menaces tarifaires proférées par le président désigné des États-Unis, Donald Trump.
(Ottawa) Le député ontarien Chandra Arya est le deuxième libéral à annoncer qu’il veut remplacer le premier ministre Justin Trudeau à la tête du Parti libéral du Canada.
(Ottawa) La ministre fédérale Gudie Hutchings a annoncé jeudi qu’elle ne se représenterait pas aux prochaines élections.
(Ottawa) Des députés pressent le ministre Dominic LeBlanc de revenir sur sa décision et de se lancer dans la course pour succéder au premier ministre Justin Trudeau. M. LeBlanc a annoncé mercredi qu’il préférait se concentrer sur la menace que fait peser Donald Trump sur l’économie canadienne. Au moins quatre autres ministres, dont Mélanie Joly et François-Philippe Champagne, sont en réflexion.
(Richmond Hill) Les familles des victimes et des représentants officiels se sont réunis mercredi dans la région de Toronto pour marquer le cinquième anniversaire de l’écrasement du vol PS752 de la compagnie Ukraine International Airlines. Ils ont demandé que l’Iran soit tenu responsable de la tragédie.
(Saint-Jean) L’opposition conservatrice à Terre-Neuve-et-Labrador a prévenu mercredi qu’elle ne voterait pas sur le protocole d’entente avec Hydro-Québec concernant Churchill Falls tant qu’il n’aura pas été examiné par des experts indépendants.
(Bowmanville) Le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, présente au président désigné des États-Unis, Donald Trump, une vision visant à approvisionner les deux pays en énergie, alors qu’il se positionne comme le protecteur du pays dans un contexte de « manque de leadership » à Ottawa face aux menaces de tarifs douaniers américains.
(Ottawa et Québec) Ce qui avait d’abord été considéré comme une plaisanterie de la part de Donald Trump est désormais davantage pris au sérieux par le gouvernement Trudeau. Le ministre Dominic LeBlanc juge ses propos sur l’annexion du Canada « contre-productifs », la ministre Mélanie Joly affirme qu’il ne faut pas entrer dans son jeu et à Québec, le premier ministre François Legault appelle la classe politique à « garder la tête froide ».
(Montréal) Le temps presse pour le gouvernement Legault, qui devrait se préparer de « façon plus proactive » pour contrer les menaces économiques du président désigné Donald Trump, plaide le chef de l’opposition officielle libérale, Marc Tanguay.
(Toronto) Au début de sa carrière de premier ministre, Justin Trudeau était « cool ». L’année qui a suivi son accession au pouvoir, il est apparu dans les pages de Vogue sur la couverture d’une bande dessinée Marvel et dans The Daily Show, discutant avec un Hasan Minhaj en pleine ascension.
Sous Justin Trudeau, l’immigration a connu une métamorphose radicale, tant au Québec qu’au Canada. Des seuils records, une explosion des flux temporaires et des débats enflammés ont marqué ses mandats. Voici six points pour comprendre cet héritage.
(Ottawa) Donald Trump n’a pas l’intention d’utiliser la force militaire, mais plutôt la « force économique » pour annexer le Canada. Doit-on prendre les menaces du président désigné au sérieux ? Les experts contactés par La Presse divergent d’opinion sur la question.
(Ottawa) Le premier ministre Justin Trudeau assistera aux funérailles de l’ancien président américain Jimmy Carter à Washington le 9 janvier prochain, a annoncé son cabinet mardi.
(Québec) Paul St-Pierre Plamondon met en garde les Québécois au lendemain de la démission de Justin Trudeau. Si le chef conservateur Pierre Poilievre prend le pouvoir, « le mépris envers le Québec » restera le même.