Trudeau, Poilievre et les villes « woke »
La mairesse Valérie Plante a été l’une des premières à le souligner cette semaine : Montréal perdra un « allié » avec le départ imminent de Justin Trudeau.
La mairesse Valérie Plante a été l’une des premières à le souligner cette semaine : Montréal perdra un « allié » avec le départ imminent de Justin Trudeau.
Ceux qui savent ne parlent pas, et ceux qui parlent ne savent pas.
Le 7 janvier 2015, la rédaction de Charlie Hebdo a été décimée par des terroristes islamistes, au cœur de Paris. Huit membres du journal satirique ont été massacrés. Pour des dessins. Le choc a été planétaire. Le monde entier semblait alors soudé. Contre la barbarie. Pour le droit de rire de tout, de tout dire, de tout écrire.
Il y a au moins deux choses que tout Américain connaît du Canada. Le bacon « canadien », qui ne l’est pas. Et Justin Trudeau.
Les libéraux devront élire un nouveau chef en vue de la prochaine campagne électorale. Voici les principaux prétendants qui pourraient prendre les rênes d’un parti mis à mal.
En annonçant son départ à venir juste avant l’arrivée au pouvoir de Donald Trump, Justin Trudeau laisse le Canada dans une position de faiblesse.
Chaque année qui s’amène nous ramène les années qui sont à des dizaines d’elle. L’année 2025 n’y échappe pas. Plusieurs anniversaires seront soulignés au cours des 360 prochains jours. À commencer par les 40 ans du film culte Back to the Future. Le temps d’une chronique, nous allons, comme Marty McFly, non seulement revisiter le passé, mais nous amuser, parfois, à le transformer.
Sur la photo, on remarque le ballon de basket qui flotte vers le panier, d’abord.
Saxifrage est son mot préféré. C’est une plante qui pousse dans les fissures des rochers. Et franchement, ça décrit bien le florissant lexique d’Emmanuel Macron, au milieu des discours gris comme les pierres auxquels sont abonnés trop de politiciens.
Munira était en cinquième année à Kandahar quand elle a signé « Dre Munira » dans son journal intime. C’était une promesse que l’écolière afghane se faisait à elle-même : un jour, elle serait médecin, comme deux de ses tantes. Qu’importe les attaques à l’acide sur le chemin de l’école. Qu’importe les bombes et les menaces. Que ça plaise ou non aux talibans.
Avancez en arrière ! Cette expression empruntée aux chauffeurs d’autobus résume bien l’année 2024. Les États-Unis l’ont bien appliquée, en choisissant, pour 47e président, leur 45e. La France aussi, en renversant le gouvernement tous les trois mois et en ramenant ses anciens politiciens en avant. Au Québec et au Canada, les exemples ne manquent pas, du retour du troisième lien aux achats sans TPS. Avancez en arrière, c’est aussi le slogan de notre équipe de hockey, qui est convaincue que plus on finit derrière, plus on a des chances, un jour, d’être devant. Si ça pouvait être ainsi dans tous les domaines, au moins, ça n’irait pas mal pour rien.
Nos chroniqueurs reviennent durant le temps des Fêtes sur des sujets qui n’ont pas obtenu toute l’attention qu’ils méritent ces 12 derniers mois.
L’une des entrevues les plus marquantes que j’ai eu la chance de faire en 2024 fut avec le survivant de l’Holocauste Maxwell Smart.
Des gens qui ont faim. D’autres qui crèvent dans la rue. Des gouvernements dans le rouge foncé, tant à Québec qu’à Ottawa. L’année qui s’achève aura été une année de records, et pas des plus heureux. Permettez-moi de dépoussiérer mon boulier pour revenir sur 2024 en quelques chiffres.
Un adolescent intubé, luttant pour sa vie dans un hôpital de la Colombie-Britannique. Des poulets abattus par millions au Canada et aux États-Unis. Des phoques retrouvés morts dans la vallée du Saint-Laurent. Des centaines d’élevages de vaches laitières contaminés aux États-Unis…